
Morceau de chair languissant et putride, agité d’une main moissonnière
Et ta pauvre semence arrachée sans clameur
Est un piètre festin qui nul ne rassasie
Le rose de ton chibre exècre comme un gisant dans une main de pacotille
Contre le sexe faible, il a le triomphe blanc des batailles avortées
Il a le silence des morts