
Constance revient tout juste d’un long séjour au Japon avec son compagnon.
Elle s’y est sentie sereine, en parfait équilibre entre la modernité extrême et la quiétude des ancêtres.
Ils ont filé à toute blinde dans des trains immaculés, dévoré des poissons aux mille visages, arpenté des montagnes, percé le silence des lieux et le zen des jardins.
Ils ont aimé la spontanéité des campagnes, l’harmonie des villes, les marées humaines des passages cloutés qui se croisent mais jamais ne s’entrechoquent, les gares hyper-connectées, et les valises livrées d’une ville à l’autre pour quelques euros.