
Paris, 19h30 par temps de pluie, Souleyman passe.
Il a l’air d’un empereur moderne et urbain, ses épaules dressées feignent l’assurance et la prestance de celui qui ne doute de rien. Souleyman porte un blouson en cuir noir, une gourmette et de grosses lunettes noires qui couvrent presque intégralement la partie haute de son visage.
Je le regarde l’air amusé, tracer sa route à contre-temps.
Une réflexion sur “06/04/2016, Souleyman”