
Pendant ce premier mois de rencontres, il m’a semblé que :
- Il m’est plus difficile de rencontrer des gens le matin.
- Il m’est plus facile de rencontrer des gens quand je suis seule, hors de mon environnement familier.
- Il m’est plus difficile de parler à des femmes.
- J’ai rencontré des personnes âgées plus facilement que des enfants.
- Certains résument la rencontre spontanée à : vous voulez parler à quelqu’un que vous ne connaissez pas = vous êtes dépressive et vous avez besoin de parler de vous.
- Il m’est difficile d’aborder des inconnus dans les transports en commun, même si cela reste le lieu où je croise le plus d’inconnus dans une seule et même journée.
- J’ai prêté plus attention aux yeux bleus de mes interlocuteurs qu’aux yeux noirs et marrons.
- Il est difficile d’aborder des hommes de mon âge en dehors d’un rapport de séduction implicite.
- Il m’est difficile de sortir de ce satané entre-soi.
- Je me suis plus volontiers arrêtée pour aider les gens qu’en temps normal.
Et ce bilan débouche sur une seule évidence : continuer, poursuivre, tracer sa route au milieu des autres, parfois envers et contre tous, mais plus pour le meilleur que pour le pire.
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